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Blinking Lights (and other revelations)
18 juillet 2015

IV

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Rien à jeter sur ce Slider qui transpire la phéromone par tous les pores (parlons trivialement, chaque chanson crie braguette, comme on dit). Si T-Rex a fait partie de mes premiers emprunts, c’est que sur le Spaghetti Incident ? figure une reprise de « Buick Makane », l’un des meilleurs titres de l’album, reprise qui cette fois est assez largement inférieure à l’originale d’autant qu’elle est bizarrement mêlée à un titre de Soundgarden. En réécoutant cette cassette, je mesure l’influence que Marc Bolan a pu avoir à la fois sur le chant d’Axl Rose (the Slider ne manque pas de ces cris éraillés qui auront plus tard rebuté pas mal de monde sur les disques des Guns), mais aussi sur le jeu de guitare de Slash, dans cette manière de rester bluesy jusque dans certaines envolées solitaires. J’ai depuis longtemps acquis the Slider en Vinyle (en plus la pochette est redoutablement classe).

 

 

 

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Sorti en 1991, Hey Stoopid fait partie de la période Metal d’Alice Cooper,  très dispensable selon moi. Aucun titre ne m’a d’ailleurs semblé intéressant à la réécoute, même si à l’époque j’avais du plutôt apprécier puisque quasiment l’intégralité du disque se retrouve sur cette cassette.  Je l’avais sans doute pris car Slash vient faire une petite pige sur le titre « Hey Stoopid » (échange de bon procédés, Alice Cooper viendra poser sa voix sur « the Garden » figurant sur le Use Your Illusion I). Hey Stoopid est d’ailleurs un véritable défilé de branleurs de manches (Satriani, Steve Vai, Nikki Sixx et Mick Mars de Motley Crue) venus prêter main forte à leur héro alors en perte de vitesse. Peine perdue, la même année sortait Nevermind, véritable fossoyeur des musiciens à pantalon en cuir cloutés.

 

 

 

Inutile d’expliquer pourquoi je m’intéressais à Bob Dylan, n’est-ce pas ? « Knocking on Heaven’s Door » est ici présentée en version reggae, avec solos de flute traversière, assez marrante. Bob Dylan enchaine les tubes en version ultra arrangées pour la scène, ce qui n’est pas pour me déplaire. Des nombreux albums du Zim que j’ai tenté depuis, seul ce Live at Budokan m’a plu (et encore n’en avais-je enregistré qu’un tiers). Il faut dire qu’une setlist avec « Blowin’ in the Wind », « I Want You » et « Forever Young » (qui ouvre la cassette suivante) me parait  assez irrésistible….

 

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