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Blinking Lights (and other revelations)
9 mai 2016

# 025 / 221

 

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Ah la plaie !! à peine le Join Together derrière moi que je me retape l’intégralité du Tommy des Who…  sans doute esbaudie de l’écoute en Live version Stade de France d’un des plus célèbres opera rock de tous les temps, j’empruntais à la médiathèque la version studio histoire d’être bien sûr d’être en présence d’un chef d’œuvre .  Certes l’album ne manque pas de tubes, mais a-t-on vraiment envie d’en parler encore après tant d’écoutes et tant de chroniques ? Non, on renvoie donc à ma rétrospective des Who, hop et voilà le travail. Tout au plus notera-t-on l’effet bizarre, à la fois ralenti (pour le côté négatif) et allégé, voire naïf (pour le côté positif) de cette version studio quand on a tant écouté de versions live plus ou moins complètes. En dépit de la lassitude, certains passages – comme la putain de basse de ce génie d’Entwistle sur « Sparks », ou la batterie de ce non moins génial Moon sur « Underture » - réussiront à capter mon attention, malgré les activités diverses que j’avais prévu pour occuper ce passage obligatoire…  (après vérif, malheur de malheur, je n’en ai pas encore fini, j’ai poussé le vice jusqu’à enregistrer les démos ! mais bon, c’est en cassette 168, on a un peu de temps pour souffler…)

 

 

 

 

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Pour le coup, cela faisait un petit moment qu’on n’avait pas vu le Coop’ en ces pages… Après avoir emprunté l’ensemble des disques de son légendaire groupe, période qui a vu naitre la majorité des tubes qu’Alice Cooper usera indéfiniment sur scène par la suite, voici justement un Live enregistré après Goes to Hell, deuxième disque solo de notre Grand Guignol favori. The Alice Cooper Show couvre donc la meilleure partie de sa carrière, on peut même le considérer comme un point d’arrêt marquant la fin de sa période « indispensable »,  le reste naviguant entre le sympathique et l’affreux, avec quelques tubes par ci par là. Nous sommes donc en présence d’un condensé de hits, dans une setlist live qu’on retrouvera peu ou prou année après année jusqu’à aujourd’hui, même si celle-ci fait la part belle aux slows qui marchaient fort à l’époque (c’est d’ailleurs ce qui sauvera Alice Cooper lors de sa traversée du désert, notamment ce « You and Me » larmoyant, seul titre vendeur de l’imminent Lace and Whiskey, première vraie gamelle du chanteur). Rien de très passionnant donc,  quelques medleys bien travaillés et les guitares acérées des redoutables Steve Hunter et Dick Wagner (à l’œuvre notamment sur le superbe Welcome to My Nightmare) pour relever des chansons maintes fois entendues et assez fidèles aux versions studio. Après ce dernier coup d’œil au passé, il sera temps de raccrocher à l’actualité et d’emprunter au fur et à mesure les sorties d’un inusable Cooper, sans jamais évidemment s’approcher de ces coups d’éclats captés sur scène  en 1977, année de ma naissance…

 

Aussi incroyable que cela puisse paraitre, pas de Alice Cooper Show sur youtube. Voici donc un live de 1979, avec Dick Wagner mais sans Steve Hunter. Bon, ca reste assez proche...

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