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Blinking Lights (and other revelations)
1 juin 2006

RADIOHEAD - the King of Limbs

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Hé les enfants, vous vous souveniez que Radiohead avait sorti un album cette année? the King of Limbs rentre dans le club très fermé des disques dont on a plus parlé avant qu'après sa sortie... On va en retoucher un mot ici dans la rubrique Art Works, puisque c'est la seule originalité de l'album. Les Artworks de Radiohead n'ont jamais été magnifiques, mais ils illustrent en général assez bien la musique du groupe et sont parfois très originaux. Nous en reparlerons une autre fois, puisque, actualité oblige (rires...), c'est bien le fameux "disque journal" the King of Limbs que je vais exposer aujourd'hui. Tout comme l'édition limitée du In Rainbows (qui elle était très moche), je l'ai réservé bien à l'avance à la seule fin de ne pas etre obligé de l'acheter 10 fois sont prix sur ebay si jamais l'objet se révélait indispensable. Bref, c'est un truc de collection qui ne sortira que rarement de son cellophane protecteur que j'ai photographié pour vous, mes petits lecteurs...

 

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Le "disque journal" sous cellophane, recto et verso.

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Le recto de la pochette du vinyle, qui est un petit format comme celui de Kid A (mais il me semble meme que cette fois c'est des 45 tours). A l'intérieur de la pochette du vinyle, deux pochettes contenat les vinyles et un carton composé de 650 petites cartes découpables (celle du centre étant la tete de l'ours tueur d'Amnesiac dans sa seule et surement dernière apparition).

 

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Le verso de la pochette vinyle et des deux pochettes contenant les disques. Ceux ci sont transparents.

 

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Les rectos des deux pochettes contenant les disques. Les deux seuls dessins qui me plaisent vraiment.

 

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Le Journal, sa Une et sa dernière page (avec la liste des morceaux).


Voici des pages du journal (peut etre la moitié), alternant dessins grands formats, dessins "gribouillés" en noir et blancs, logos et textes obscurs. Il y a quelques explications sur le disque et le journal (avec un couplet écolo bien sur), et probablement aussi les textes des chansons. A une époque lointaine (disons il y a 10 ans) j'aurai probablement épluché ce journal, traduit tout les textes, reproduit les dessins, mais j'avoue qu'aujourd'hui je n'ai rien lu du tout...

 

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Il ya aussi deux pages de photos. Le seul qu'on voit vraiment, c'est Thom Yorke (au look clochard très moche, soit dit en passant), avec Johnny Greenwood sur la première photo. Les autres sont mal pris, ou dans un flou artistique, ou avec des reflets... C'est assez symbolique de l'album d'ailleurs, qu'on a du mal à ne pas considérer comme étant un album solo de Thom Yorke...

 

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Voilà, cela reste dans la continuité des artworks de Radiohead. Des spectres errant dans de gigantesques forets, des monstres ne sachant pas très bien ce qu'ils font là, des couleurs pastels aux contours floues... Des images aussi désincarnées que la musique qu'elles illustrent...

 

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